Je regardais tes carnets et mon grand m'a dit : "Tu regardes quoi? Sfar ? - Non, quelqu'un d'autre. - Mais on dirait Sfar. Il a tout pompé (les ados sont radicaux...). Je regardais justement la page où tu parlais de Sfar. L'ado est radical mais fine mouche. Il y a quelque chose en effet de la vie de Sfar dans tes croquis. Je me demandais à quoi cela tenait. A quoi cela tient que tes dessins touchent. Et puis je me suis dis que c'est par le grâce du "trait mou" que l'on te reprochait à Bruxelles. Le trait mou, on peu le rebaptiser "trait souple". Ce trait souple qui va très vite englobe tout, deux taches d'aquarelle pour remplir et on y est....tes croquis, ce sont comme les gestes de la main de quelqu'un qui parle : au plus près de la parole, matérialisant de façon éphémère ce qui est dit, ces gestes là permettent la présence. Mmmmh....je ne suis pas sûr que ça explique grand chose, tout ça.... Bon automne argentin...
Pas le courage de lire ça vu l'heure (4h22) mais promis je mis atèle demain avec attention.
RépondreSupprimerJe t'aime ma Cécile.
Et je t'aime.
RépondreSupprimerEt Choupa, et Tiff, et la Grande Sophie, et Annette, et Le Bec, merci pour vos mots. Beaucoup.
Je suis tombé sous le charme du portrait de émilia et je t'incite à continuer dans cette voie, il est splendide (oui oui moi je suis comme ça je suis premier ©Le Bec)
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C'est touchant comme toujours, frustrant parfois mais tellement bon. ça fait du bien de venir ici, c'est comme aller dans un petit jardin privée ouvert sur l'argentine.
Je regardais tes carnets et mon grand m'a dit : "Tu regardes quoi? Sfar ? - Non, quelqu'un d'autre. - Mais on dirait Sfar. Il a tout pompé (les ados sont radicaux...). Je regardais justement la page où tu parlais de Sfar. L'ado est radical mais fine mouche. Il y a quelque chose en effet de la vie de Sfar dans tes croquis. Je me demandais à quoi cela tenait. A quoi cela tient que tes dessins touchent. Et puis je me suis dis que c'est par le grâce du "trait mou" que l'on te reprochait à Bruxelles. Le trait mou, on peu le rebaptiser "trait souple". Ce trait souple qui va très vite englobe tout, deux taches d'aquarelle pour remplir et on y est....tes croquis, ce sont comme les gestes de la main de quelqu'un qui parle : au plus près de la parole, matérialisant de façon éphémère ce qui est dit, ces gestes là permettent la présence.
RépondreSupprimerMmmmh....je ne suis pas sûr que ça explique grand chose, tout ça....
Bon automne argentin...
j'adore le portrait. Les couleurs sont legers, tout est tres suggestif... au moins, j'en prends comme ca.
RépondreSupprimerBeau :)
mardi, mercredi et jeudi réunion du gang. On pensera à toi.
RépondreSupprimerFilm sur les réductions guaranies :
RépondreSupprimerMission, de Roland Joffé, 1986. A voir.